mercredi 26 février 2014

Ils ont rejoint ma PAL 23/02/2014

Foire du livre oblige, ma PAL a vraiment pris du poids ce week-end, en voici 8 de plus.

Du belge pour commencer.

Une jeune auteur bien sympathique : Nathalie SKOWRONEK


 

Il s'agit de son deuxième roman, elle avait publié en 2011 "Karen et moi" chez Arléa

Nathalie Skowronek est née en 1973 à Bruxelles.
Son deuxième roman, « Max, en apparence », est paru en septembre 2013.

Quatrième de couverture

En apparence, Max avait laissé Auschwitz derrière lui.

Une histoire ancienne qui avait fini par s’effacer, comme dans mon souvenir le numéro tatoué sur son bras qu’enfant je connaissais par cœur, et que j’avais pourtant fini par oublier.

Mon grand-père Max était à présent un homme d’affaires qui, associé à Pavel, son vieil ami des camps, trafiquait par-dessus le mur de Berlin pour alimenter la nomenklatura d’Allemagne de l’Est en produits de luxe et marchés divers. Tout aurait été pour le mieux, Max vivant au milieu de sa cour, si ce départ pour Berlin (qui avait été il n’y a pas si longtemps le cœur de la machine de mort) ne s’était fait au prix de l’abandon de son épouse et de sa petite fille, restées à Liège.

En apparence seulement.

Car Max chaque matin faisait le tour du zoo de Berlin, avec dans ses poches ses pilules, et un petit sac de diamants.

Prix :16 euros
240 pages, EAN 9782363080301


GENEVIEVE DAMAS

Deux parutions


478blog



Douze nouvelles, douze trajectoires de vie, douze moments où des êtres atteignent leur point de rupture. L’occasion de regarder les choses en face et, pourquoi pas, de prendre une trajectoire inexplorée, d’affronter ce qui fait peur, de larguer les amarres.
Élisabeth quitte précipitamment une réunion de famille pour aller acheter du wasabi, ‘Ma trottine le long d’une grand-route avec Benny, Jonas est sous l’emprise de son chat, Alice choisit d’enfoncer ses talons aiguilles dans la neige, Samy cherche quelqu’un à qui parler, un jeune professeur de français défend un projet théâtre face à un conseil de classe… Tour à tour, ces personnages prennent la parole, à leur manière, l’occasion de murmurer une vérité qui jamais n’a été dite.
Par l’auteur de Si tu passes la rivière, Prix Rossel 2011 et Prix des Cinq Continents de la Francophonie 2012
Histoire d'un bonheur
Quel est le secret d’Anita Beauthier ? Sa vie de grande bourgeoise lyonnaise, réglée comme un métronome où rien n’est laissé au hasard, comme en témoigne son agenda rempli de choses à faire, tenir une maison, s’occuper de deux grands enfants, faire du shopping, voir ses amies, participer à un club de lecture, va peu à peu se déconstruire sous nos yeux. Il aura suffi d’une confidence de son fils, qui lui apprend qu’il aime un garçon, pour que son univers s’écroule. Vulnérable- on comprend qu’elle souffre de troubles bi-polaires- elle décide de se libérer de la camisole chimique qui, depuis longtemps, lui permet de renvoyer aux autres l’image d’une femme heureuse. Très vite, livrée à elle-même, elle ne contrôle plus rien et l’immense solitude dans laquelle elle se trouve la submerge d’un seul coup. Mais la confusion qui s’installe alors dans sa vie apporte avec elle une vraie lucidité. Que vaut l’apparente sécurité d’une famille lorsque les vraies blessures se font jour et que le hasard place sur votre chemin des inconnus qui, dans leur étrangeté, finissent par prendre une place plus importante vos proches ?

Rien ne prédestinait Anita Beauthier à rencontrer Nourredine, élève en décrochage dans un collège de la ville et à lier avec lui une relation faite de tendresse et de protection. Rien ne laissait penser non plus que Simon, beau-frère d’Anita et homme solitaire et taciturne rencontrerait Nathalie, la voisine d’Anita, abandonnée et trahie par son mari.

Histoire d’un bonheur est l’histoire de toutes ces rencontres improbables mais porteuses de vraies questions comme, qu’est ce que le bonheur ? Comment se libérer des conventions d’une vie toute tracée pour découvrir, peut-être, son propre chemin.

Geneviève Damas, dans ce roman choral, où chacun des personnages prend la parole et donne sa version de l’histoire, nous donne à lire une réflexion roborative, sur la vraie recherche de soi. C’est aussi un livre extrêmement drôle- on rit beaucoup- où elle s’attaque avec humour à tous les apriori et les clichés de notre société.
(Présentation de l'éditeur)
  • Editeur: Arléa
  • Genre: Littérature française
  • Prix: € 20
  • Nombre de pages: 160 pages
  • Date de publication: février 2014
Armel JOB



Parution : 6 Février 2014
Format : 1 x 215 mm
Nombre de pages : 312
Prix : 19,50 €
ISBN : 2-221-14091-5



« Il n'est nullement nécessaire d'avoir un coeur mauvais pour causer de grands maux. »
Hannah Arendt


Qu'est-ce qu'elle peut bien y comprendre, Annette, à ces histoires de grandes personnes, à ces rendez-vous secrets du mercredi après-midi, chaperonnée par des bonnes soeurs en cornette au regard doux et préoccupé ? Peut-être que si Annette ne s'appelait pas en réalité Hanna, peut-être que si elle n'était pas juive, il en irait différemment. La fillette pourrait voir ses parents autrement qu'en cachette, à l'abri des regards indiscrets. Ils viendraient lui rendre visite comme chaque semaine et l'emmèneraient avec eux, loin du couvent.
Les parents d'Hanna doivent cependant se méfier. Le peuple de Liège a beau renâcler devant la rigueur des lois antijuives, eux aussi sont en sursis, épiés, traqués. Et si des catholiques de la bonne bourgeoisie de la ville s'évertuent à les protéger et à leur donner asile, un homme, informateur zélé de l'occupant allemand, les exilerait volontiers vers des cieux moins cléments. Il faut donc être sur ses gardes. D'autant que la trahison ne vient pas toujours du camp et pour les raisons que l'on croit. S'il y avait d'un côté les bons et de l'autre les méchants, les choses seraient beaucoup trop simples.
Comment réagissent des gens ordinaires confrontés à une situation extraordinaire ? Quelle est la frontière entre le bien et le mal, entre un héros et un salaud ? Ne peut-on pas être les deux à la fois ? Armel Job nous précipite dans la gueule de la bête– ce for intérieur qui tient lieu de conscience à chacun de nous, ou se révèlent toutes les nuances de l'âme humaine, sombre et généreuse, capable du meilleur comme du pire – et nous sème dans les rues de Liège, hérissées de chausse-trapes et de faux-semblants, théâtre de ce polar versatile jusqu'à la dernière ligne.

Laurence BERTELS    La solitude du papillon

un premier roman à découvrir.




Sméraldine

14 x 20,5 cm, 240 pages
ISBN 978-2-88253-469-9
EUR 20.-

Pendant qu’Isabelle lit Madame Bovary pour la quatrième fois, se languit et s’interroge sur sa vie de couple, un accident survenu en montagne bouleverse l’existence de sa fille, Clara. Chrysa­lide appelée à devenir papillon, la jeune fille va surmonter de nombreux obstacles pour attirer enfin les regards vers elle… Elle passera ensuite sans transition de l’enfance à l’âge adulte, celui où les amours se déchirent, où les solitudes s’installent.
De Paris à Gérone, en passant par la petite ville côtière de Veules-les-Roses en Normandie, se tissent les destins de personnages intimement liés sans le savoir par des secrets de famille.


Frédérique Deghelt     Les brumes de l'apparence



Elle m'avait beaucoup ému avec 'La grand mère de Jade', j'ai donc craqué pour son dernier opus

Les Brumes de l'apparenceLes Brumes de l'apparence

David Foenkinos   La tête de l'emploi

J'avais adoré "la délicatesse", il était présent à la Foire j'ai craqué.

La tête de l'emploi
  • Auteur(s) :  Foenkinos, David
  • Collection : Grand Format
  • Serie : Grand Format
  • Dimensions : 12.2x20x1.9 cm
  • Prix : 13,50 €
  • EAN : 9782290077443
  • Date de parution : 08/01/2014
A 50 ans, Bernard voit sa vie complètement chamboulée : il perd son travail, sa femme demande le divorce, et il est contraint de retourner vivre chez ses parents. Jusqu'au jour où Bernard rencontre la fille d'un quincailler, aussi perdue que lui...


Et pour terminer :

Katherine Pancol     "Muchachas"




Aux Editions Albin Michel : "Muchachas" - 12 février 2014

Les filles sont partout dans ce roman.
Elles mènent la danse.
De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres ou à Miami.
Des filles qui inventent, s’enflamment, aiment.
Des filles qui se battent pour la vie.
Et les hommes ?
Ils sont là aussi.
Mais ce sont les muchachas qui dansent, dansent, dansent.
Elles font voler le s destins en éclats.
Et ça n’en finit pas !

Après quatre ans d’absence, Katherine Pancol revient avec un nouveau roman : Muchachas, premier volume d’une nouvelle série. Des histoires qui zigzaguent de Paris à Londres, de New York à Miami, de Saint Chaland à Cuba, des ferrailleurs bourguignons à l'univers de la mode et aux studios de musique.

432 pages - ISBN : 9782226254443 - Prix : 19,80 €

dimanche 23 février 2014

Visite à la Foire du Livre 2014






Que de beaux souvenirs cette foire 2014.

Deux visites, ce jeudi 20 et ce samedi 22 février.

Bon je vais finir par vous casser les pieds mais ma plus belle découverte est sans conteste Antoine Wauters, lauréat du prix Première, que j'ai eu la chance de rencontrer jeudi et samedi.

Son livre je ne peux faire qu'une chose, c'est vous dire de le lire, il y a plusieurs articles sur le blog donc j'arrête. La personne est comme son écriture, très naturelle, charmante et attachante. Je lui souhaite encore beaucoup de succès et la reconnaissance des lecteurs comme il le mérite.





Jeudi j'ai également eu la chance de revoir une ancienne lauréate du prix, c'était il y a 3 ans : Nicole Roland, une personne passionnée, chaleureuse et accessible. C'est toujours un régal de la rencontrer.




Souvenez-vous c'était avec KOSABURO qu'elle avait remporté le Prix en 2011. En 2012 elle publiait l'émouvant "Les veilleurs de chagrin"






J'ai également eu le plaisir de rencontrer un autre auteur de chez nous Jean-Luc Outers. Il m'avait beaucoup ému avec le merveilleux "Voyage de Luca"


 
De jour comme de nuit est sorti l'an dernier mon avis est ici

Le bureau de l'heure est dans ma PAL

Samedi je continue ma rencontre des auteurs bien de chez nous

Je ne voulais manquer Geneviève Damas sous aucun prétexte. Souvenez-vous le prix Rossel 2011






Si tu passes la rivière, magnifique couronné par le prix des Cinq Continents. Il est un des livres qui m'a marquée et que je vous conseille vivement.

Et bien 2 nouveautés à l'honneur pour Geneviève Damas dans deux maisons différentes.



Un recueil de nouvelles chez Luce Wilkin



     Euphémine
14 x 20,5 cm, 96 pages
ISBN 978-2-88253-478-1
EUR 10.-

Résumé


Douze nouvelles, douze trajectoires de vie, douze moments où des êtres atteignent leur point de rupture. L’occasion de regarder les choses en face et, pourquoi pas, de prendre une trajectoire inexplorée, d’affronter ce qui fait peur, de larguer les amarres.

Élisabeth quitte précipitamment une réunion de famille pour aller acheter du wasabi, ‘Ma trottine le long d’une grand-route avec Benny, Jonas est sous l’emprise de son chat, Alice choisit d’enfoncer ses talons aiguilles dans la neige, Samy cherche quelqu’un à qui parler, un jeune professeur de français défend un projet théâtre face à un conseil de classe… Tour à tour, ces personnages prennent la parole, à leur manière, l’occasion de murmurer une vérité qui jamais n’a été dite.

Par l’auteur de Si tu passes la rivière, Prix Rossel 2011 et Prix des Cinq Continents de la Francophonie 2012

Un extrait

Les premières lignes

«J’ai oublié le wasabi.» C’est ça que je leur ai dit : «J’ai oublié le wasabi, je cours chez le Japonais du coin de la rue et je reviens.» Ma mère a froncé les sourcils, «Tu es d’une distraction, Élisabeth, franchement.» «Je sais, je ne serai jamais bonne à marier, M’man. Bon, si vous mourez de faim, vous n’avez qu’à ouvrir le frigo, les zakouskis vous attendent sur la deuxième planche, pour les curieux, le gâteau est dans le bac à légumes.» Jean-Paul a souri. Et j’ai tourné les talons.

Évidemment que je l’avais acheté, le wasabi. Je pouvais vraiment leur faire gober n’importe quoi. Le wasabi, c’est ce qui me réveillait mieux que le café le matin et me tirait de l’abrutissement le soir. Seulement, ce jour-là, alors que depuis un mois je m’étais préparée à l’idée de cette soirée, « Ça peut être agréable, une famille », à l’image de ma mère déballant son cadeau d’anniversaire, à ses remarques cinglantes « Encore un livre, c’est original », au regard adipeux de Victor, le beau-père, toujours prêt à promener ses mains sur ma nuque et mes épaules « Détends-toi, Élisabeth, tu es si tendue », au sourire triomphant de ma sœur « Je ne me suis jamais sentie mieux qu’enceinte » et à la mine fatiguée de Jean-Paul, le beau-frère, quand je les ai vus arriver sur le palier, s’embrasser, se réjouir de cette soirée, parler de leurs vacances, du bébé, j’ai su tout à coup qu’il me faudrait prendre l’air, sortir quelques minutes, sous n’importe quel prétexte. Et le wasabi est le premier que j’ai trouvé.



Résumé

Quel est le secret d’Anita Beauthier ? Sa vie de grande bourgeoise lyonnaise, réglée comme un métronome où rien n’est laissé au hasard, comme en témoigne son agenda rempli de choses à faire, tenir une maison, s’occuper de deux grands enfants, faire du shopping, voir ses amies, participer à un club de lecture, va peu à peu se déconstruire sous nos yeux. Il aura suffi d’une confidence de son fils, qui lui apprend qu’il aime un garçon, pour que son univers s’écroule. Vulnérable- on comprend qu’elle souffre de troubles bi-polaires- elle décide de se libérer de la camisole chimique qui, depuis longtemps, lui permet de renvoyer aux autres l’image d’une femme heureuse. Très vite, livrée à elle-même, elle ne contrôle plus rien et l’immense solitude dans laquelle elle se trouve la submerge d’un seul coup. Mais la confusion qui s’installe alors dans sa vie apporte avec elle une vraie lucidité. Que vaut l’apparente sécurité d’une famille lorsque les vraies blessures se font jour et que le hasard place sur votre chemin des inconnus qui, dans leur étrangeté, finissent par prendre une place plus importante vos proches ?



Rien ne prédestinait Anita Beauthier à rencontrer Nourredine, élève en décrochage dans un collège de la ville et à lier avec lui une relation faite de tendresse et de protection. Rien ne laissait penser non plus que Simon, beau-frère d’Anita et homme solitaire et taciturne rencontrerait Nathalie, la voisine d’Anita, abandonnée et trahie par son mari.


Histoire d’un bonheur est l’histoire de toutes ces rencontres improbables mais porteuses de vraies questions comme, qu’est ce que le bonheur ? Comment se libérer des conventions d’une vie toute tracée pour découvrir, peut-être, son propre chemin.




Geneviève Damas, dans ce roman choral, où chacun des personnages prend la parole et donne sa version de l’histoire, nous donne à lire une réflexion roborative, sur la vraie recherche de soi. C’est aussi un livre extrêmement drôle- on rit beaucoup- où elle s’attaque avec humour à tous les apriori et les clichés de notre société.


(Présentation de l'éditeur)
Editeur: Arléa
Genre: Littérature française
Prix: € 20
Nombre de pages: 160 pages
Date de publication: février 2014



Autre figure de notre littérature belge : Armel JOB







J'ai un peu honte car je ne l'ai pas encore lu, mais c'est dans mes projets car au total cela fait le quatrième dans ma PAL




Pour en terminer avec nos compatriotes j'ai également rencontré : Frédéric ERNOTTE










J'avais beaucoup apprécié ce polar mon avis est ici



Les autres rencontres étaient Sandrine Collette qui sort son deuxième livre noir









Après "Des noeuds d'acier" qui vient de sortir en poche mon avis, que je vous recommande vivement voici "Un vent de cendres".

Je vous en parle bientôt , je dois le recevoir en partenariat avec Babelio et les éditions Denoël


Un petit coucou à David Foenkinos Frédérique Deghelt et Katherine Pancol, Nob et Anne Fine.


Une belle édition 2014.